| légende =
| naissance = 49 Démévent de l'an 46 du [[Calendrier Erachien]]
| caractéristique = [[Fichier:Marechalinfobox.png|25px|sans_cadregauche]] [[Forces_armées_impériales#Les_Grades|Maréchal d'Empire]] | activité = [[Fichier:7 blason gouverneur.png|25px|gauche]][[Gouverneurs|Gouverneur ]] Militaire<br>Marquis de [[Férincs]]
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = Empire de Stendel<br>
[[Consulat de la Garde]]<br>
[[Garde Volontaire]]<br>
[[Forces armées impériales]]<br>
[[Maison Pencroff de Férincs]]<br>
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|140px|sans_cadre]]<br>
}}
Le '''Maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs''' est un des [[Gouverneurs]] de l'empire Stendenlien.<br>
Il est également le patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], une famille de la haute noblesse d'épée stendelienne.<br>
Originaire d'une contrée étrangère à l'empire, il s'engagea très jeune et a gravit les échelons des [[Forces armées impériales]] à partir du grade de soldat. Vétéran de la [[Guerre Civile Stendelienne]] et survivant de bataille de Nyan-Cat, il fut promu officier malgré son rang de roturier et créa la [[Garde Volontaire]] au lendemain du cessez-le-feu.<br>
Fort de ses succès militaires à la tête de la Garde, il rejoindra, plus tard, les rangs de la prestigieuse Chevalerie de Stendel. Militaire aguerri, d'un caractère studieux et investi dans son rôle de défenseur, il obtiendra le rang de '''Chevalier''' et le grade de Général avec les honneurs.<br>
Le maréchal Pencroff considère la protection du peuple impérial comme une mission sacrée dont il s'acquitte avec déférence. D'un caractère simple et modeste, il n'accorde d'importance qu'à la sûreté de l'empire et se tient souvent en marge des mondanités et des fastes de la cour, leur préférant la rusticité franche du monde militaire.<br>
Dédaignant tout intérêt personnel, n'entretenant qu'une modeste fortune et ne puisant sa gloire que dans la tourmente des combats; il a pour réputation de ne jamais se parjurer ou démériter de sa parole, n'hésitant jamais à mettre sa vie en jeu pour se maintenir à la hauteur de son serment.<br>
= Biographie =
Il se retire également le plus clair de son temps dans son fief de [[Férincs]] dont il est '''Marquis'''.<br>
Le Patriarche de la [[Maison Pencroff de Férincs]], le maréchal Pencroff est le père, entre autres enfants, du Chevalier d'empire et Commandant de Hussards de la Garde Volontaire [[Emile-Bonaventure Pencroff]] et du Chevalier et Capitaine [[Antoine-Bonaventure Pencroff]], servant dans le [[Régiment de Férincs Cavalerie]].<br>
====Jeunesse====
==== Marquis de Férincs ====
[[Fichier:Consul5ZZD Pencroff.png|400px|vignette|droite|Le Premier consul Ghideon Zorn et le maréchal Pencroff passant les troupes en revueaprès la capture de la capitale d'Olster.]]
En l'an de grâce 278, suite aux "évènements de 274", le Gouverneur Pencroff est nommé '''Marquis de [[Férincs]]''' par lettre patente. Outre ses fonctions au gouvernement impérial et dans la Garde Volontaire, il accepte donc la gestion de ce fief à titre seigneurial.<br>
Il est à cette occasion élevé de son rang nobiliaire de Chevalier à celui de Marquis et adopte la particule "de férincs" qu'il ajoute à son patronyme, devenant "Le maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs"et fondant la [[Maison Pencroff de Férincs]].<br>
Dès sa nomination, il fait construire dans son nouveau fief un manoir qu'il nomme "La commanderie" et qui sera achevé en 279. Dès la fin des travaux, il en fait sa résidence principale et y prend ses quartiers avec une partie de son état-major.<br>
Il nomme également la générale [[Wendy Marvel]] comme seconde dans la gestion du fief.<br>
==== Les guerres de coalitions ====
[[Fichier:102.png|400px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff, marquis de Férincs, profitant des jardins de son chateau durant l'été 321.]]
[[Fichier:Pencroff cavaliers.png|400px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff et ses dragons dans le fief d'Astre-Bellisle lors de l'opération Thermidor]]
Aux premiers jours de l'an de grâce 310, la [[Guerre de la Seconde Coalition]] éclate finalement.<br>
Grâce à ses renseignements et sa préparation, la garde parvient alors à prendre l'ennemi de vitesse, et utilise ses demi-brigades d'exploration précédemment déployées comme forces de guérilla pour conduire une série d'attaques sur les bases logistiques ennemies et ralentir son élan. Les coalisés ayant perdu leur momentum, la garde volontaire débarque alors sur le continent d'Oldmont toute entière. Le maréchal Pencroff, colonel-général de la cavalerie, prend alors le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]] et se projette aux devants de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]].
En 326, le maréchal participe à la [[Guerre de restauration de Belvy]] aux commandes du Corps de Cavalerie de la [[Garde Volontaire]].<br>
En 331, le maréchal Pencroff prend le commandement d'une armée de deux corps, les 2e et 6e corps, placés sous la dénomination de "Force Gascogne". Il conduit alors les troupes au royaume de Gargantua, où une caste de démons tente de s'emparer du trône.<br>
Cet engagement est le premier depuis de longues années où le maréchal Pencroff reprend des fonctions de commandant en chef. C'est également la première fois depuis de longues années qu'il est engagé sans son très fameux et très cher '''Corps de Cavalerie'''.<br>
Après divers combats de moyenne intensité au début du conflit, la simple présence d'une armée de la Garde Volontaire suffit à faire capituler l'adversaire. Magnanime, le maréchal Pencroff accepte le départ des démons sans massacrer ces derniers, à la condition qu'ils n'acceptent de se tenir à une certaine distance de l'empire.<br>
En 335, le maréchal Pencroff réforme le [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#1er_r.C3.A9giment_de_cuirassiers-lanciers_de_la_Garde|Régiment des Cuirassiers de la Garde]] et le équipe de '''lances''' pour former le '''Régiment de Cuirassiers-lanciers de la Garde'''. L'ambition du maréchal, dans son rôle de Colonel-Général de la Cavalerie, est de tirer profit de l'excellente tenue en charge des cuirassiers et des avantages cumulés de la cuirasse et de la lance lors des engagements de cavalerie contre une cavalerie adverse ou contre des lignes d'infanterie. Une fois le choc passé, les cuirassiers peuvent abandonner la lance et poursuivre le combat au sabre-latte.<br>
Le maréchal expérimente ces nouvelles méthodes lors des manoeuvres annuelles de 335.<br>
En 337, le maréchal Pencroff participe, avec la totalité de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]], à la [[Grande Guerre Continentale]].<br>
Au cours de cette campagne que d'aucuns décrivent comme un des plus rudes engagements de la [[Garde Volontaire]], le maréchal et la [[Maison Pencroff de Férincs]] jouent un rôle prépondérant dans les combats, mais paient également un lourd tribu. En effet, dans la tourmente et l'indescriptible chaos de la bataille finale, le fils aîné du maréchal, [[Emile-Bonaventure Pencroff]], tombe au combat en sauvant par une charge héroïque l'aile droite de l'armée.<br>
Le maréchal Pencroff, à propos du sacrifice de son propre fils sur l'autel de la protection de l'empire, commentera avec pudeur:<br>
"Il est des enjeux et des valeurs qui dépassent les mortels que nous sommes. Nombre de soldats ont versé leur sang pour protéger ceux qui vivent à l'ombre de notre bouclier. Le sacrifice de mon propre fils, comme celui de chaque soldat tombé à cette bataille, n'a pas été vain et leur héritage vivra tant que les tambours battront aux pieds de nos drapeaux. Je l'ai enterré avec ses hommes, il l'a bien mérité."<br>
En Fifrelune 344, le maréchal Pencroff a vent des [[Revendications sur Hewyr]] portées par la cité-état de [[Namnis]]. Si ces revendications restent de l'ordre de la diplomatie et ne donnent lieu à aucune menace d'invasion du territoire impérial d'[[Hewyr]], le maréchal Pencroff mobilise néanmoins la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#3e_Division_de_cavalerie|Brigade de cavalerie de Férincs]] qu'il maintient en alerte dans le cadre de sa mission de '''Maréchaussée'''. L'incident passe finalement sans d'autres évolutions.<br>
Entre 339 et 340, le Maréchal Pencroff participe à la [[Guerre de succession de Salamine]].<br>
En 346, le maréchal prend l'initiative de projeter le [[Régiment de Férincs Cavalerie]] dans la baronnie d'Astre-Bellisle pour y punir la compagnie marchande de Reysac, une riche firme de négociants ayant cherché à destabiliser le pouvoir du seigneur local pour prendre le contrôle du port du fief. Cette [[Dragonnade]] prend le nom d'[[Opération Thermidor]] et se conclue par la dissolution de la compagnie marchande incriminée<br>
En 364, le maréchal Pencroff réforme une nouvelle fois les [[Forces armées impériales]] pour développer leur structure et améliorer leur organisation. Il réorganise les grades de la troupe en créant les rangs de quartier-maître, second-maître et premier-maître suivant une logique qu'il avait précédemment employée pour la [[Guilde des Explorateurs]] et permet ainsi de distinguer les plus jeunes des plus anciens soldats. Il réinstaure également l'[[La Chevalerie|Académie de la Chevalerie]] comme école militaire supérieure et le rang social de [[Chevaliers|Chevalier]] comme pré-requis à l'accès au grade de Lieutenant. Enfin, il crée un grade de '''Major-Général''' situé entre les grades de Général et de Maréchal pour confier à ce nouveau rang de commandement des '''Corps''' de l'armée.<br>
Cette série de réformes accroît significativement l'efficacité des armées, augmentant également leurs capacités d'action.<br>
==== Le nouveau monde ====
}}
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Gabriel FeraudJean-roc Coignet
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| image = [[Fichier:Colonel FeraudLt-Col Lepic.png|200px]]
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| caractéristique = Colonel
| activité = Premier aide-de-camp | sexe = Homme | espèce = Humain | affiliation = [[Garde Volontaire]] | arme = Cavalerie | ennemi = }}| width="16%"| {{Infobox Personnage | nom = Lt-Col. Jean-roc Coignet | nom alias = | image = [[Fichier:Lt-Col Lepic.png|200px]] | taille image = | légende = | naissance = | origine = | décès = | cheveux = | yeux = | caractéristique = Lieutenant-Colonel | activité = Second aideAide-de-camp
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| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Lt-Col. Maurice GribauvalAlexendre de Lauriston
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| caractéristique = Lieutenant-Colonel | activité = Troisième aideAide-de-camp
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| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Artillerie
De par son expérience, la générale Marceline aurait déjà pu obtenir sa quatrième étoile et le commandement d'un corps; mais elle s'y refuse obstinément de sorte à rester auprès de son mentor. malgré cela, véritable bras droit du maréchal et fondateur de la garde, elle est vue de tous comme une extension de son autorité, et rares sont les généraux à oser la contredire au risque de s'attirer les foudres du père de la garde.<br>
Réputée pour son esprit vif et son sens de l'organisation, la générale Marceline est également reconnue pour sa profonde et pieuse dévotion envers sa mission. Elle-même orpheline, elle a un souci constant du sort des populations civiles et n'a pas le goût des massacres inutiles. Elle tempère souvent le maréchal qui, partisan de la justice absolue, cherche rarement à capturer ses ennemis en vie et poursuit souvent ses charges jusqu'à épuisement de sa monture.<br>
Au sein de l'état-major du Maréchal, la générale Marceline occupe la fonction de "major-générale", également appelée "cheffe d'état-major". Sa principale fonction est de traduire les instructions du maréchal en ordres en bonne et dûe forme et de les faire parvenir à qui de droit. Garante des mots et des volontés du maréchal, sa parole a la même valeur que celle de son commandant. Elle dirige également les ordonnances et a préséance sur les aides de camp.<br>
Elle porte également une chevalière aux armes de la famille Pencroff, qui dans bien des cas est un véritable blanc-seing.<br>
Elle se démarque par ses cheveux blancs malgré son jeune âge et l'impressionnante cicatrice qui lui lézarde le visage.<br>
- '''Général de brigade Jean De Loisy''', premier aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Issu d'une noble famille aux traditions militaires, Jean de Loisy a préféré s'engager dans la garde volontaire plutôt que dans les rangs de l'armée impérialeson régiment familial, en quête de campagnes et de gloire dont la jeune armée de volontaire était plus prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnelles. Malgré son titre de noblesse, il débuta sa carrière comme soldat et passa chaque grade à force de bravoure et de qualités militaires. Devenu lieutenant de chevau-légers, puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le commandement de l'escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avec le grade de commandant. Plus tard, promu lieutenant-colonel, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux avant d'être nommé colonel et d'être appelé à l'état-major du maréchal Pencroff sur sa demande. Ses excellents états de service lui valent finalement la promotion au grade de général de brigade.<br>En réalité, bien qu'il soit pourvu d'évidentes qualités militaires, le général De Loisy a jadis eu quelques déboires avec la justice militaire à cause de son indiscipline et de son amour des duels. Mais sa franchise, sa témérité et sa bravoure dans l'action ont à l'époque convaincu le maréchal Pencroff de le couvrir de son nom, effaçant ainsi les traces de ses frasques. Cette largesse du maréchal eut pour effet de susciter chez le jeune cavalier une réelle reconnaissance et une sincère fidélité.<br>Au sein de l'état-major du Maréchal, le générale de loisy occupe la fonction d'aide de camp, c'est à dire de conseiller. Plus singulièrement, il s'est spécialisé dans l'emploi de l'arme de la cavalerie et seconde le maréchal dans ses fonctions de colonel-général de l'arme. Il étudie avec soin les tactiques et stratégies adverses, connait les manuels d'emploi des armées comme sa poche et est même souvent personnellement missionné pour diriger les commissions d'achats de chevaux au profit de la Garde. Il sert également de lien étroit entre le maréchal et l'académie de la Chevalerie.<br>Il se démarque par son flegme, son sens aiguisé de l'humour et sa capacité à enchaîner les duels et les conquêtes.<br>
- '''Général de brigade Irina Ruminesku''', seconde aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Rapidement, sa carrière dans l'infanterie la conduisit sur de nombreux champs de batailles où elle s'illustra, tant est si bien qu'elle fut promue au rang d'officier. Capitaine au 19e de ligne durant la [[Campagne d'Auersdatte]], elle sauve alors la vie du maréchal Pencroff pendant la Bataille de la crête d'Eséparge. Ce dernier, reconnaissant et impressionné par l'action héroïque de la jeune femme, la nomme commandante séance-tenante et la fait inscrire à l'école de guerre où, dès la fin de la campagne, elle passe son brevet d'état-major.<br>
Promue lieutenant-colonel, elle intègre l'inspection générale de l'armée où elle est chargée des études relatives au développement de l'infanterie de la garde. Promue colonel, elle intègre finalement l'état-major du maréchal comme aide-de-camp, avant d'y être nommée générale de brigade.<br>
Au sein de l'état- major du Maréchal, la générale occupe la fonction d'''Colonel Gabriel Feraud''', premier aide-de-camp , c'est à dire de conseillère. Plus singulièrement, elle s'est spécialisée dans les missions plus "politiques" qui ponctuent parfois les activités militaires du maréchal<br>Brillant officier et de cavalerie légèreson entourage. Agissant parfois en véritable diplomate, elle connait les cours de la plupart des nations bordant le colonel Gabriel Feraud a eu l'honneur territoire impérial mais également la presque totalité de commander lla haute noblesse d'escadron empire. Bien que ses missions la conduisent souvent à démêler des mousquetaires du intrigues dans les palais; il arrive que le maréchal Pencroff avant dla détache à la tête de troupes lorsqu'intégrer lil s'état-major agit de ce derniersoutenir une armée amie dans une entreprise où la Garde trouve son intérêt. Cavalier hors-pair et fiévreux duelliste, il <br>Elle se joue des combats démarque alors par sa froideur et considère la guerre comme un jeul’exécution brutale de ses missions.<br>
- '''Lieutenant-Colonel Jean-roc Coignet''', second aide-de-camp grand écuyer du maréchal<br>Le lieutenant-colonel Colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est succéssivement successivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du nord-est Stendelien. Au retour du régiment, il est décoré de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans la compagnie de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroique héroïque pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major. Il participe plus tard à la [[Première Campagne des Titanides]] puis à la [[Seconde campagne des Titanides]] au terme desquelles il est promu Colonel. Toujours dans l'état-Major du maréchal pendant les '''Guerres de Coalitions''' qui ébranlent le début des années 300, il refuse une promotion comme général de brigade pour rester auprès du maréchal, qui le nomme grand-écuyer.<br>Au sein de l'état-major du Maréchal, le colonel occupe la fonction de Grand écuyer. C'est lui qui est en charge d'organiser les déplacements du maréchal et la sécurité de ce dernier lorsqu'il n'est pas au Château des Empereurs, à son domaine de Férincs ou au commandement de Fort Herobrine. Présent en permanence aux cotés du Maréchal, le grand-écuyer commande souvent le "piquet d'honneur", détachement de la compagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]] chargé de l'escorte.<br>
- '''Lieutenant-Colonel Maurice Gribauval4 officiers d'ordonnance du maréchal''', troisième aide-de-camp du maréchal<br>Artilleur renommé issu de l'artillerie à cheval de la Garde Consulaire, Pour rédiger ses ordres et mathématicien porter ses messages à travers toute l'académie militaire des sciences du Refuge armée, le Maréchal dispose de Pan.<br> - plusieurs officiers d'''Colonel Diane Kavendix''', chirurgienordonnance: des cavaliers hors-major<br>La colonel Diane Kavendix est une chirurgienne pairs capables de renom, également archimage se faufiler à brides abattues sur les champs de son étatbatailles comme sur les routes. Elle ne prend absolument jamais part aux combatsÀ la fois secrétaires, mais est capable sauver coursiers et personnes de confiance; les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue dans les armées pour son rôle salvateur, elle a gagné le surnom "officiers d'ange des batailles".<br>Outre ses fonctions médicales dans le corps des maréchaux, elle est également reconnue pour ses travaux ordonnance sont de recherche dans les magies véritables couteaux-suisses au sein de soin. Elle donne également des cours à l'école de médecine militaireétat-major. Dans le cas du Maréchal Pencroff, et est auteure d'une thèse sur les alternatives ces fonctions sont exclusivement attribuées à l'amputation et la guérison des plaies infectées. Son éxperience des combats lui a donné l'occasion d'observer officiers issus du 1er Régiment de Hussards de nombreux cas cliniquesla Garde, ce unité à laquelle le maréchal reste très attaché et qui lui confère une grande influence auprès a la réputation de compter dans ses pairs médecins. Le maréchal Pencroff nrangs l'accepte d'être suivi que par elle et son adjointeélite de la cavalerie légère.<br> - En temps de paix, 4 officiers d'''Commandant Naaza Larray''', chirurgien-aideordonnance (un commandant et trois capitaines) sont affectés de façon régulière dans le petit état-major<br>La commandante Naaza Larray est tout simplement l'assistante et la disciple du colonel KavendixMaréchal. Fille du docteur Charles LarrayEn tous temps, précédent chirurgien aide-major au moins un de ces officier doit être à disposition directe du maréchal, et elle-même chirurgienne et mage de son état, ses années passées auprès de son père et mentor font un second doit se tenir à proximité d'elle un médecin de premier rang dont la valeur est souvent soulignée par sa supérieure. La commandante Larray n'avait jamais servi dans cheval sellé; les armes avant de rejoindre l'état-major du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation deux étant de son père et du colonel Kavendix ont convaincu ce dernier de la recruterrepos.<br> - '''6 En temps de guerre, tous les officiers d'ordonnance restent en permanence auprès du maréchal'''<br>Issus de diverses unités montées, ces officiers ont été sélectionnés sur dossier pour accompagner et servir le maréchal. Ce leurs effectifs sont renforcés de véritables couteaux suissesdeux lieutenants, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers. Leur fidélité au maréchal est absolueportant le nombre des ordonnances à six.<br>Parmi les 6 4 officiers d'ordonnancepermanents, on compte:<br>- Commandant Riley Ninime<br>- Capitaine Lev Leps,<br>- Capitaine CentenacHawkeye<br>- Capitaine BrunbroukHubert<br>- Lieutenant Otonoshin Koito<br>- Lieutenant Hajime TsukushimaCapitaine Feraud<br>
Pour assurer son escorte, l'état-major du maréchal est accompagné par la compagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]].<br>
Lors des déplacements du Maréchal, ce dernier est accompagné d'un "piquet d'honneur" généralement composé du 1er peloton de la compagnie "Mestre de Camp" du régiment.<br>
= Faits d'Armes Notoires =
[[Opération Vendémiaire]]<br>
[[Guerre de restauration de Belvy]]<br>
[[Grande Guerre du Nord]]<br>
[[Guerre de succession de Salamine]]<br>
[[Opération Thermidor]]<br>
[[Seconde guerre démoniaque]]<br>
= Distinctions et Décorations =
[[Fichier:Pencroff 1.png|250px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff en 253]]
{| style="margin:1em auto; text-align:center;"
|-
| colspan="2" | Legion d'obsidienne
| colspan="2" | Croix des Volontaires
| colspan="2" | Croix du sang-versé
|-
| colspan="2" | Croix de guerre
| colspan="2" | Croix de guerre
| colspan="2" | Croix de guerre
|-
| colspan="2" | Ordre de l'armée
| colspan="2" | Médaille de la Garde
| colspan="2" | Médaille de la Cavalerie
|-
|colspan=6 | Colonel-général de la cavalerie
|}
- Gouverneur<br>
- Maréchal d'empire<br>
= Citations =
"La cavalerie est l'arme de la surprise: Elle gâche celle de l'adversaire en dévoilant les forces qu'il s'évertue à dissimuler et cherche en permanence à prendre ce dernier de court par ses vifs assauts impromptus. C'est une arme noble et sauvage, qui porte l'honneur en étendard mais fait couler le sang à profusion sans remords ni pitié."<br>
"Pour assurer la sûreté de ses terres et de son peuple, il ne peut suffire de se défendre. Défendre, c'est subir; c'est perdre l'initiative et laisser à son adversaire le luxe de décider des engagements... c'est une largesse que ne peut se permettre celui dans les mains duquel la sûreté du peuple repose ! Dès lors que l'on connait son ennemi, que l'on sait que la cohabitation est impossible, qu'il sera une nuisance ou, pire, un obstacle; il faut attaquer. Attaquer vivement, avec force, sans concessions. Attaquer et détruire, abolir la menace, repartir sur des bases saines."<br>
"Les bonnes campagnes sont celles que l'on mène à la hussarde: aller vite, être insaisissable, emporter l'initiative, attaquer à toute occasion, ne point laisser à l'ennemi le temps de saisir son infortune et le laisser sabré dans la plaine en partant à brides abattues vers le prochain objectif."<br>
"Tuez les tous, l'empire reconnaitra les siens."<br>
"On meurt tous un jour. Certains de gloire, d'autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"<br>
"Je ne connais de diplomatie que celle du canon. Une plume sera toujours moins convaincante qu'Il faut un coup de mitraillesiècle pour faire une nation, mais une bataille peut suffire à la défaire."<br>
"Messieurs, ajustez vos chapeaux et vos rubans de queue, nous allons avoir l'honneur de charger !"<br>
"Il suffit d'un coup de plume pour faire un duc, mais il faut vingt ans pour faire un général."<br>
"Les nations qui séparent les intellectuels des guerriers sont gouvernées par des lâches et défendues par des idiots."<br>
"Seuls les guerriers peuvent être pacifistes, les autres n'ont juste pas le choix."<br>
"A la guerre, il faut n'être jamais sur de rien, et toujours prêt à tout."<br>
"On ne s'engage pas dans l'armée pour faire dans la dentelle. Notre boulot c'est de détruire des choses et tuer des gens."<br>
"La diplomatie est l'affaire des politiciens. Compromis, concessions, langue de bois... Une fois qu'ils ont échoués, on vient mettre tout le monde d'accord."<br>
= Armoiries =
[[Fichier:Blason-pen-V1Armoiries Pencroff.png|400px|sans_cadre|centré|Armoiries de la famille Maison Pencroffde Férincs]]<br>
'''Les armoiries du maréchal Pencroff sont composés des éléments suivants''':<br>
- L'écu de la famille Pencroff de Férincs, aux couleurs de l'empire, de la [[Garde Volontaire]]et portant la tête de chat de Férincs et les étoiles de maréchal.<br>
- La couronne symbolisant le titre de gouverneur<br>
- Les deux bâtons de maréchal symbolisant le grade militaire<br>