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Modifications

Pencroff

7 698 octets ajoutés, 30 avril
| légende =
| naissance = 49 Démévent de l'an 46 du [[Calendrier Erachien]]
| caractéristique = [[Fichier:Marechalinfobox.png|25px|sans_cadregauche]] [[Forces_armées_impériales#Les_Grades|Maréchal d'Empire]] | activité = [[Fichier:7 blason gouverneur.png|25px|gauche]][[Gouverneurs|Gouverneur ]] Militaire<br>Marquis de [[Férincs]]
| sexe = Homme
| espèce = Humain
| affiliation = Empire de Stendel<br>
[[Consulat de la Garde]]<br>
[[Garde Volontaire]]<br>
[[Forces armées impériales]]<br>
[[Maison Pencroff de Férincs]]<br>
[[Fichier:Armoiries Pencroff.png|140px|sans_cadre]]<br>
}}
==== Marquis de Férincs ====
[[Fichier:Consul5ZZD Pencroff.png|400px|vignette|droite|Le Premier consul Ghideon Zorn et le maréchal Pencroff passant les troupes en revueaprès la capture de la capitale d'Olster.]]
En l'an de grâce 278, suite aux "évènements de 274", le Gouverneur Pencroff est nommé '''Marquis de [[Férincs]]''' par lettre patente. Outre ses fonctions au gouvernement impérial et dans la Garde Volontaire, il accepte donc la gestion de ce fief à titre seigneurial.<br>
Il est à cette occasion élevé de son rang nobiliaire de Chevalier à celui de Marquis et adopte la particule "de férincs" qu'il ajoute à son patronyme, devenant "Le maréchal Bonaventure Pencroff de Férincs" et fondant la [[Maison Pencroff de Férincs]].<br>
==== Les guerres de coalitions ====
[[Fichier:102.png|400px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff, marquis de Férincs, profitant des jardins de son chateau durant l'été 321.]]
[[Fichier:Pencroff cavaliers.png|400px|vignette|droite|Le maréchal Pencroff et ses dragons dans le fief d'Astre-Bellisle lors de l'opération Thermidor]]
Aux premiers jours de l'an de grâce 310, la [[Guerre de la Seconde Coalition]] éclate finalement.<br>
Grâce à ses renseignements et sa préparation, la garde parvient alors à prendre l'ennemi de vitesse, et utilise ses demi-brigades d'exploration précédemment déployées comme forces de guérilla pour conduire une série d'attaques sur les bases logistiques ennemies et ralentir son élan. Les coalisés ayant perdu leur momentum, la garde volontaire débarque alors sur le continent d'Oldmont toute entière. Le maréchal Pencroff, colonel-général de la cavalerie, prend alors le commandement du [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#Corps_de_cavalerie|Corps de cavalerie]] et se projette aux devants de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]].
En 326, le maréchal participe à la [[Guerre de restauration de Belvy]] aux commandes du Corps de Cavalerie de la [[Garde Volontaire]].<br>
 
En 331, le maréchal Pencroff prend le commandement d'une armée de deux corps, les 2e et 6e corps, placés sous la dénomination de "Force Gascogne". Il conduit alors les troupes au royaume de Gargantua, où une caste de démons tente de s'emparer du trône.<br>
Cet engagement est le premier depuis de longues années où le maréchal Pencroff reprend des fonctions de commandant en chef. C'est également la première fois depuis de longues années qu'il est engagé sans son très fameux et très cher '''Corps de Cavalerie'''.<br>
Après divers combats de moyenne intensité au début du conflit, la simple présence d'une armée de la Garde Volontaire suffit à faire capituler l'adversaire. Magnanime, le maréchal Pencroff accepte le départ des démons sans massacrer ces derniers, à la condition qu'ils n'acceptent de se tenir à une certaine distance de l'empire.<br>
 
En 335, le maréchal Pencroff réforme le [[Liste_des_régiments_terrestres_de_la_Garde_Volontaire#1er_r.C3.A9giment_de_cuirassiers-lanciers_de_la_Garde|Régiment des Cuirassiers de la Garde]] et le équipe de '''lances''' pour former le '''Régiment de Cuirassiers-lanciers de la Garde'''. L'ambition du maréchal, dans son rôle de Colonel-Général de la Cavalerie, est de tirer profit de l'excellente tenue en charge des cuirassiers et des avantages cumulés de la cuirasse et de la lance lors des engagements de cavalerie contre une cavalerie adverse ou contre des lignes d'infanterie. Une fois le choc passé, les cuirassiers peuvent abandonner la lance et poursuivre le combat au sabre-latte.<br>
Le maréchal expérimente ces nouvelles méthodes lors des manoeuvres annuelles de 335.<br>
 
En 337, le maréchal Pencroff participe, avec la totalité de la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire|Grande Armée]], à la [[Grande Guerre Continentale]].<br>
Au cours de cette campagne que d'aucuns décrivent comme un des plus rudes engagements de la [[Garde Volontaire]], le maréchal et la [[Maison Pencroff de Férincs]] jouent un rôle prépondérant dans les combats, mais paient également un lourd tribu. En effet, dans la tourmente et l'indescriptible chaos de la bataille finale, le fils aîné du maréchal, [[Emile-Bonaventure Pencroff]], tombe au combat en sauvant par une charge héroïque l'aile droite de l'armée.<br>
Le maréchal Pencroff, à propos du sacrifice de son propre fils sur l'autel de la protection de l'empire, commentera avec pudeur:<br>
"Il est des enjeux et des valeurs qui dépassent les mortels que nous sommes. Nombre de soldats ont versé leur sang pour protéger ceux qui vivent à l'ombre de notre bouclier. Le sacrifice de mon propre fils, comme celui de chaque soldat tombé à cette bataille, n'a pas été vain et leur héritage vivra tant que les tambours battront aux pieds de nos drapeaux. Je l'ai enterré avec ses hommes, il l'a bien mérité."<br>
 
En Fifrelune 344, le maréchal Pencroff a vent des [[Revendications sur Hewyr]] portées par la cité-état de [[Namnis]]. Si ces revendications restent de l'ordre de la diplomatie et ne donnent lieu à aucune menace d'invasion du territoire impérial d'[[Hewyr]], le maréchal Pencroff mobilise néanmoins la [[Ordre_de_bataille_de_la_garde_volontaire#3e_Division_de_cavalerie|Brigade de cavalerie de Férincs]] qu'il maintient en alerte dans le cadre de sa mission de '''Maréchaussée'''. L'incident passe finalement sans d'autres évolutions.<br>
 
Entre 339 et 340, le Maréchal Pencroff participe à la [[Guerre de succession de Salamine]].<br>
 
En 346, le maréchal prend l'initiative de projeter le [[Régiment de Férincs Cavalerie]] dans la baronnie d'Astre-Bellisle pour y punir la compagnie marchande de Reysac, une riche firme de négociants ayant cherché à destabiliser le pouvoir du seigneur local pour prendre le contrôle du port du fief. Cette [[Dragonnade]] prend le nom d'[[Opération Thermidor]] et se conclue par la dissolution de la compagnie marchande incriminée<br>
 
En 364, le maréchal Pencroff réforme une nouvelle fois les [[Forces armées impériales]] pour développer leur structure et améliorer leur organisation. Il réorganise les grades de la troupe en créant les rangs de quartier-maître, second-maître et premier-maître suivant une logique qu'il avait précédemment employée pour la [[Guilde des Explorateurs]] et permet ainsi de distinguer les plus jeunes des plus anciens soldats. Il réinstaure également l'[[La Chevalerie|Académie de la Chevalerie]] comme école militaire supérieure et le rang social de [[Chevaliers|Chevalier]] comme pré-requis à l'accès au grade de Lieutenant. Enfin, il crée un grade de '''Major-Général''' situé entre les grades de Général et de Maréchal pour confier à ce nouveau rang de commandement des '''Corps''' de l'armée.<br>
Cette série de réformes accroît significativement l'efficacité des armées, augmentant également leurs capacités d'action.<br>
==== Le nouveau monde ====
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Infanterie
| ennemi =
}}
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Gabriel Feraud
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel Feraud.png|200px]]
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| caractéristique = Colonel
| activité = Premier aide-de-camp
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| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Cavalerie
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}}
 
| width="16%"| {{Infobox Personnage
| nom = Col. Maurice GribauvalAlexendre de Lauriston
| nom alias =
| image = [[Fichier:Colonel dHubertColonel_dHubert.png|200px]]
| taille image =
| légende =
| yeux =
| caractéristique = Colonel
| activité = Troisième aideAide-de-camp
| sexe = Homme
| espèce = HumainElfe
| affiliation = [[Garde Volontaire]]
| arme = Artillerie
De par son expérience, la générale Marceline aurait déjà pu obtenir sa quatrième étoile et le commandement d'un corps; mais elle s'y refuse obstinément de sorte à rester auprès de son mentor. malgré cela, véritable bras droit du maréchal et fondateur de la garde, elle est vue de tous comme une extension de son autorité, et rares sont les généraux à oser la contredire au risque de s'attirer les foudres du père de la garde.<br>
Réputée pour son esprit vif et son sens de l'organisation, la générale Marceline est également reconnue pour sa profonde et pieuse dévotion envers sa mission. Elle-même orpheline, elle a un souci constant du sort des populations civiles et n'a pas le goût des massacres inutiles. Elle tempère souvent le maréchal qui, partisan de la justice absolue, cherche rarement à capturer ses ennemis en vie et poursuit souvent ses charges jusqu'à épuisement de sa monture.<br>
Au sein de l'état-major du Maréchal, la générale Marceline occupe la fonction de "major-générale", également appelée "cheffe d'état-major". Sa principale fonction est de traduire les instructions du maréchal en ordres en bonne et dûe forme et de les faire parvenir à qui de droit. Garante des mots et des volontés du maréchal, sa parole a la même valeur que celle de son commandant. Elle dirige également les ordonnances et a préséance sur les aides de camp.<br>
Elle porte également une chevalière aux armes de la famille Pencroff, qui dans bien des cas est un véritable blanc-seing.<br>
Elle se démarque par ses cheveux blancs malgré son jeune âge et l'impressionnante cicatrice qui lui lézarde le visage.<br>
- '''Général de brigade Jean De Loisy''', premier aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Issu d'une noble famille aux traditions militaires, Jean de Loisy a préféré s'engager dans la garde volontaire plutôt que dans les rangs de l'armée impérialeson régiment familial, en quête de campagnes et de gloire dont la jeune armée de volontaire était plus prometteuse que les rangs vieillissant des armes traditionnelles. Malgré son titre de noblesse, il débuta sa carrière comme soldat et passa chaque grade à force de bravoure et de qualités militaires. Devenu lieutenant de chevau-légers, puis capitaine de hussards; il fut personnellement sélectionné pour prendre le commandement de l'escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avec le grade de commandant. Plus tard, promu lieutenant-colonel, il intégra brièvement l'état-major du corps des maréchaux avant d'être nommé colonel et d'être appelé à l'état-major du maréchal Pencroff sur sa demande. Ses excellents états de service lui valent finalement la promotion au grade de général de brigade.<br>En réalité, bien qu'il soit pourvu d'évidentes qualités militaires, le général De Loisy a jadis eu quelques déboires avec la justice militaire à cause de son indiscipline et de son amour des duels. Mais sa franchise, sa témérité et sa bravoure dans l'action ont à l'époque convaincu le maréchal Pencroff de le couvrir de son nom, effaçant ainsi les traces de ses frasques. Cette largesse du maréchal eut pour effet de susciter chez le jeune cavalier une réelle reconnaissance et une sincère fidélité.<br>Au sein de l'état-major du Maréchal, le générale de loisy occupe la fonction d'aide de camp, c'est à dire de conseiller. Plus singulièrement, il s'est spécialisé dans l'emploi de l'arme de la cavalerie et seconde le maréchal dans ses fonctions de colonel-général de l'arme. Il étudie avec soin les tactiques et stratégies adverses, connait les manuels d'emploi des armées comme sa poche et est même souvent personnellement missionné pour diriger les commissions d'achats de chevaux au profit de la Garde. Il sert également de lien étroit entre le maréchal et l'académie de la Chevalerie.<br>Il se démarque par son flegme, son sens aiguisé de l'humour et sa capacité à enchaîner les duels et les conquêtes.<br>
- '''Général de brigade Irina Ruminesku''', seconde aide-de-camp général du maréchal Pencroff<br>
Rapidement, sa carrière dans l'infanterie la conduisit sur de nombreux champs de batailles où elle s'illustra, tant est si bien qu'elle fut promue au rang d'officier. Capitaine au 19e de ligne durant la [[Campagne d'Auersdatte]], elle sauve alors la vie du maréchal Pencroff pendant la Bataille de la crête d'Eséparge. Ce dernier, reconnaissant et impressionné par l'action héroïque de la jeune femme, la nomme commandante séance-tenante et la fait inscrire à l'école de guerre où, dès la fin de la campagne, elle passe son brevet d'état-major.<br>
Promue lieutenant-colonel, elle intègre l'inspection générale de l'armée où elle est chargée des études relatives au développement de l'infanterie de la garde. Promue colonel, elle intègre finalement l'état-major du maréchal comme aide-de-camp, avant d'y être nommée générale de brigade.<br>
- '''Colonel Gabriel Feraud''', premier aide-de-camp du maréchal<br>Brillant officier de cavalerie légère, le colonel Gabriel Feraud a eu l'honneur Au sein de commander l'escadron des mousquetaires du maréchal Pencroff avant d'intégrer l'état-major de ce dernier. Cavalier hors-pair et fiévreux duellistedu Maréchal, il se joue des combats et considère la guerre comme un jeu.<br> - '''Lieutenant-Colonel Jean-roc Coignetgénérale occupe la fonction d''', second aide-de-camp du maréchal<br>Le lieutenant-colonel Coignet est le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l, c'est à dire de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldatconseillère.<br>Solide gaillardPlus singulièrement, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment delle s'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est succéssivement promu sergent puis sergent-major spécialisée dans les tranchées glacées missions plus "politiques" qui ponctuent parfois les activités militaires du nord-est Stendelienmaréchal et de son entourage. Au retour du régimentAgissant parfois en véritable diplomate, il est décoré elle connait les cours de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste plupart des survivants. Légende vivante au sein du 2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et est promu adjudant au premier bataillon. Suivant nations bordant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et retourne dans territoire impérial mais également la compagnie presque totalité de grenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroique pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut haute noblesse d'être promu capitaine par le général Jihairempire. Il reste Bien que ses missions la conduisent souvent à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, après bien d'autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel démêler des intrigues dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du palais; il arrive que le maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major.<br> - '''Lieutenant-Colonel Maurice Gribauval''', troisième aide-de-camp du maréchal<br>Artilleur renommé issu de l'artillerie détache à cheval de la Garde Consulaire, et mathématicien à l'académie militaire des sciences du Refuge tête de Pan.<br> - troupes lorsqu'il s''Colonel Diane Kavendix''', chirurgien-major<br>La colonel Diane Kavendix est agit de soutenir une chirurgienne de renom, également archimage de son état. Elle ne prend absolument jamais part aux combats, mais est capable sauver les blessés parmi les plus désespérés. Reconnue armée amie dans les armées pour une entreprise où la Garde trouve son rôle salvateur, elle a gagné le surnom "d'ange des batailles"intérêt.<br>Outre ses fonctions médicales dans le corps des maréchaux, elle est également reconnue pour ses travaux de recherche dans les magies de soin. Elle donne également des cours à l'école de médecine militaire, se démarque alors par sa froideur et est auteure d'une thèse sur les alternatives à l'amputation et la guérison des plaies infectées. Son éxperience des combats lui a donné l'occasion d'observer de nombreux cas cliniques, ce qui lui confère une grande influence auprès l’exécution brutale de ses pairs médecins. Le maréchal Pencroff n'accepte d'être suivi que par elle et son adjointemissions.<br>
- '''Commandant Naaza LarrayColonel Jean-roc Coignet''', chirurgien-aide-majorgrand écuyer du maréchal<br>La commandante Naaza Larray Le Colonel Coignet est tout simplement le doyen des aides-de-camp du maréchal. Issu d'une familles pauvre de paysans de l'assistante est de Stendel, il ne savait pas lire au moment de son intégration avec le grade de soldat.<br>Solide gaillard, honnête et discipliné, il fut rapidement nommé caporal dans une compagnie de grenadiers du 2e régiment d'infanterie au moment où ce dernier était formé pour participer à la disciple campagne de Kel'daer. Il fait alors partie des rares braves à survivre à toute la campagne sans être relevé, et est successivement promu sergent puis sergent-major dans les tranchées glacées du colonel Kavendixnord-est Stendelien. Fille Au retour du docteur Charles Larrayrégiment, précédent chirurgien aide-major il est décoré de la légion d'obsidienne pour ses actions héroïques avec le reste des survivants. Légende vivante au sein du maréchal2e d'infanterie, il achève d'apprendre à lire et écrire; et elle-même chirurgienne est promu adjudant au premier bataillon. Suivant le régiment dans toutes ses nouvelles campagnes, il est ensuite élevé au rang d'officier et mage retourne dans la compagnie de son étatgrenadiers du 1er bataillon comme lieutenant. Son action héroïque pendant la [[Campagne d'Asayaka]] lui vaut d'être promu capitaine par le général Jihair. Il reste à ce poste jusqu'à la [[Campagne Verte]] pendant laquelle il est promu commandant du 1er bataillon du 2e régiment d'infanterie. Finalement, ses années passées auprès de son père et mentor font après bien d'elle un médecin autres campagnes, il est promu lieutenant-colonel dans les grenadiers de la Garde Consulaire. Il sauve alors la vie du maréchal Pencroff au cours de la [[Campagne de premier rang dont Sillevanie]]. Ce dernier, en gage de reconnaissance, le fait intégrer dans son état-major. Il participe plus tard à la [[Première Campagne des Titanides]] puis à la valeur [[Seconde campagne des Titanides]] au terme desquelles il est souvent soulignée par sa supérieurepromu Colonel. La commandante Larray nToujours dans l'avait jamais servi dans état-Major du maréchal pendant les armes avant '''Guerres de Coalitions''' qui ébranlent le début des années 300, il refuse une promotion comme général de brigade pour rester auprès du maréchal, qui le nomme grand-écuyer.<br>Au sein de rejoindre l'état-major du Maréchal, le colonel occupe la fonction de Grand écuyer. C'est lui qui est en charge d'organiser les déplacements du maréchal, mais ses excellentes compétences et la recommandation sécurité de ce dernier lorsqu'il n'est pas au Château des Empereurs, à son père et domaine de Férincs ou au commandement de Fort Herobrine. Présent en permanence aux cotés du colonel Kavendix ont convaincu ce dernier Maréchal, le grand-écuyer commande souvent le "piquet d'honneur", détachement de la recrutercompagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]] chargé de l'escorte.<br>
- '''6 4 officiers d'ordonnance du maréchal'''<br>Issus Pour rédiger ses ordres et porter ses messages à travers toute l'armée, le Maréchal dispose de diverses unités montées, ces plusieurs officiers ont été sélectionnés d'ordonnance: des cavaliers hors-pairs capables de se faufiler à brides abattues sur les champs de batailles comme sur dossier pour accompagner les routes. À la fois secrétaires, coursiers et servir le maréchal. Ce personnes de confiance; les officiers d'ordonnance sont de véritables couteaux -suissesau sein de l'état-major. Dans le cas du Maréchal Pencroff, ces fonctions sont exclusivement attribuées à des officiers issus du 1er Régiment de Hussards de la Garde, unité à laquelle le maréchal reste très attaché et qui a la réputation de compter dans ses rangs l'élite de la cavalerie légère.<br>En temps de paix, aussi bien secrétaires que trésoriers ou messagers4 officiers d'ordonnance (un commandant et trois capitaines) sont affectés de façon régulière dans le petit état-major du Maréchal. Leur fidélité En tous temps, au moins un de ces officier doit être à disposition directe du maréchal est absolue, et un second doit se tenir à proximité d'un cheval sellé; les deux étant de repos.<br>En temps de guerre, tous les officiers d'ordonnance restent en permanence auprès du maréchal, et leurs effectifs sont renforcés de deux lieutenants, portant le nombre des ordonnances à six.<br>Parmi les 6 4 officiers d'ordonnancepermanents, on compte:<br>- Commandant Riley Ninime<br>- Capitaine Lev Leps,<br>- Capitaine CentenacHawkeye<br>- Capitaine BrunbroukHubert<br>- Lieutenant Otonoshin Koito<br>- Lieutenant Hajime TsukushimaCapitaine Feraud<br>
Pour assurer son escorte, l'état-major du maréchal est accompagné par la compagnie d'élite du [[Régiment de Pencroff Cavalerie]].<br>
Lors des déplacements du Maréchal, ce dernier est accompagné d'un "piquet d'honneur" généralement composé du 1er peloton de la compagnie "Mestre de Camp" du régiment.<br>
= Faits d'Armes Notoires =
[[Guerre de restauration de Belvy]]<br>
 
[[Grande Guerre du Nord]]<br>
 
[[Guerre de succession de Salamine]]<br>
 
[[Opération Thermidor]]<br>
 
[[Seconde guerre démoniaque]]<br>
= Distinctions et Décorations =
= Citations =
"La cavalerie est l'arme de la surprise: Elle gâche celle de l'adversaire en dévoilant les forces qu'il s'évertue à dissimuler et cherche en permanence à prendre ce dernier de court par ses vifs assauts impromptus. C'est une arme noble et sauvage, qui porte l'honneur en étendard mais fait couler le sang à profusion sans remords ni pitié."<br>
 
"Pour assurer la sûreté de ses terres et de son peuple, il ne peut suffire de se défendre. Défendre, c'est subir; c'est perdre l'initiative et laisser à son adversaire le luxe de décider des engagements... c'est une largesse que ne peut se permettre celui dans les mains duquel la sûreté du peuple repose ! Dès lors que l'on connait son ennemi, que l'on sait que la cohabitation est impossible, qu'il sera une nuisance ou, pire, un obstacle; il faut attaquer. Attaquer vivement, avec force, sans concessions. Attaquer et détruire, abolir la menace, repartir sur des bases saines."<br>
 
"Les bonnes campagnes sont celles que l'on mène à la hussarde: aller vite, être insaisissable, emporter l'initiative, attaquer à toute occasion, ne point laisser à l'ennemi le temps de saisir son infortune et le laisser sabré dans la plaine en partant à brides abattues vers le prochain objectif."<br>
"Tuez les tous, l'empire reconnaitra les siens."<br>
"On meurt tous un jour. Certains de gloire, d'autres de vieillesse: Ce sera le sabre ou la canne !"<br>
"Je ne connais de diplomatie que celle du canon. Une plume sera toujours moins convaincante qu'Il faut un coup de mitraillesiècle pour faire une nation, mais une bataille peut suffire à la défaire."<br>
"Messieurs, ajustez vos chapeaux et vos rubans de queue, nous allons avoir l'honneur de charger !"<br>
"Il suffit d'un coup de plume pour faire un duc, mais il faut vingt ans pour faire un général."<br>
 
"Les nations qui séparent les intellectuels des guerriers sont gouvernées par des lâches et défendues par des idiots."<br>
"Seuls les guerriers peuvent être pacifistes, les autres n'ont juste pas le choix."<br>
"A la guerre, il faut n'être jamais sur de rien, et toujours prêt à tout."<br>
 
"On ne s'engage pas dans l'armée pour faire dans la dentelle. Notre boulot c'est de détruire des choses et tuer des gens."<br>
"La diplomatie est l'affaire des politiciens. Compromis, concessions, langue de bois... Une fois qu'ils ont échoués, on vient mettre tout le monde d'accord."<br>
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